Exemples de productions écrites

Voici quelques exemples de productions écrites à en profiter:

Le progrès technique :

     Avec les guerres, les nouvelles maladies, les armes de destruction massive, les menaces climatiques qui pèsent sur l’avenir de la planète, la confiance que les hommes mettaient dans le progrès depuis le 18e siècle, n’a cessé de décliner.

     Faut-il donc condamner le progrès ? Nous sommes enclins à le faire. De fait, qu’est-ce qui peut nous conduire, à l’heure actuelle, à accorder des circonstances atténuantes au progrès?

     D'abord, nous sommes tellement habitués à nos biens de consommation, à notre confort, à la rapidité des déplacements et des communications que nous ne supporterions plus qu’on nous prive de tous ces bienfaits du progrès et qu’au contraire nous en demandons toujours plus.

     Ensuite, il est dans la nature de l’être humain, depuis l’âge de pierre jusqu'à nos jours, de développer la technologie pour découvrir mieux la terre et même l’univers, et d’approfondir ses connaissances, pour améliorer sa vie.

     Par conséquent, le mal vient du fait que les hommes n’ont pas su gérer le progrès. Plutôt que de le maudire, il faudrait réfléchir à des solutions. En effet, le devenir de notre planète doit nous inquiéter tous et nous pousser à nous mobiliser pour essayer de la sauver des conséquences du réchauffement climatique.

     Pour cela, il faudrait que toutes les nations s’engagent à réduire les effets négatifs des nouvelles technologies sur notre planète et ses habitants.

     Par ailleurs, il faudrait éduquer les nouvelles générations et leur montrer que chacun à son niveau peut œuvrer pour un progrès maîtrisé. Trier les déchets, économiser l’eau et le chauffage, utiliser les transports en commun chaque fois que c’est possible… Cela peut être le prélude à un changement de comportement.

     En conclusion, nous sommes conscients que l’état de notre planète nous concerne tous, car il en va de l’avenir des futures générations. La réflexion est donc nécessaire.


Les élections et les jeunes :


     Selon les enquêtes et les sondages d’opinion, la majorité des gens qui votent aux élections sont de l'âge adulte ou plutôt vieux. En d’autres termes, les jeunes d'aujourd'hui ne s'intéressent guère aux élections.

     D'abord, les jeunes refusent de voter et de participer aux élections parce qu'ils ne s'intéressent plus ni à la chose publique ni à la politique à cause des représentations erronées qu’ils ont érigé en devise.

Ensuite, l'environnement n'encourage pas les jeunes à voter. En effet, les projets et les programmes des partis politiques n'intègrent que partiellement les aspirations des jeunes .Ainsi, les décideurs ne leurs accordent aucun siège de candidat ou de député car ils veulent les réserver aux grandes personnes.

     En outre, les responsables des campagnes de sensibilisation, qui ont le devoir de guider ces novices et leur démontrer que le vote est une chose primordiale, demeurent passifs face au renoncement des jeunes et leur indifférence ce qui creuse encore le fossé entre ces derniers et la chose publique.

     Dès lors, la politique et la gestion de la société restent exclusivement des missions réservées aux grands chevronnés qui narguent et méprisent incessamment ces jeunes crédules et insouciants si bien que ceux-ci sont marginalisés et mis à l'écart par les politiciens.

     Toutefois, des critiques acerbes doivent être adressées aux jeunes qui assument à leur tour la responsabilité de toutes ces réalités imposées qui sont jugées jusque-là normales du fait que ces grands adolescents s’enferment dans leur petit monde à la recherche de satisfactions personnelles et non collectives.

     Pour conclure, nos jeunes doivent être au courant de tout ce qui se passe actuellement puisque les conditions imposent leur implication dans le champ politique dans l'espoir de corriger la conception qui vise la rupture entre les jeunes et la gestion des affaires politiques et sociales . Alors, jusqu'à quand les jeunes vont-ils demeurer passifs et subir une vie politique dont ils ne sont ni les concepteurs ni les contributeurs notamment en ces moments cruciaux ?



La musique et les jeunes :


     Il faut souligner que la musique est au cœur de l'activité quotidienne des jeunes. Selon une enquête sur les pratiques culturelles, les jeunes sont parmi les plus grands consommateurs de musique. Elle est, pour eux, une source de plaisir, de divertissement, d'évasion et un moyen de socialisation.

     D'abord, les jeunes considèrent la musique comme un nouveau style de vie et en profitent pour exhiber leurs particularités et affirmer leur personnalité. En effet, la musique est devenue un moyen de se démarquer de la génération précédente. La nouveauté des styles crée une séparation avec les goûts musicaux des parents.

     Ensuite, elle est effectivement un moyen d'intégrer un groupe. C’est une source de rassemblement collectif et de plaisir (fête, chant, danse). Aussi contribue-t-elle à enrichir l'esprit des jeunes et à leur donner plus de chance de s'harmoniser avec les changements et les évolutions que connait notre monde.

     Enfin, elle est une forme d'expression humaine individuelle, notamment l'expression des sentiments. C'est pourquoi les jeunes ont créé d'autres genres de musique qui traduisent mieux leur perception du monde.

     Cependant, les jeunes subissent une influence néfaste de certains courants musicaux desquels ils s'entichent obstinément sans faire appel ni à leurs esprits critiques ni même aux règles qui régissent leur société. Ils relèguent ainsi la musique au second plan et s’évertuent à singer les musiciens dans leurs façons de se coiffer et de s’habiller. Par conséquent, ces derniers les incitent à adopter un mauvais comportement et à s'accoutrer de façon inacceptable et grotesque (cheveux hérissés, pantalons rapiécés, pulls très courts qui laissent paraître les parties de leurs corps ...) ce qui a ouvert la voie au phénomène du suivisme aveugle. D'où la colère de certains parents qui s'indignent de l'indifférence des responsables qui doivent veiller sur l'éducation des générations futures.

     Par ailleurs, on remarque que l'univers musical des jeunes est caractérisé par l'éphémère. C'est pour cela que la popularité des groupes ou des chanteurs est souvent de courte durée. Les adolescents adulent une vedette puis une autre selon l'offre accélérée du marché.

     Pour conclure, je pense que personne ne peut nier que nous vivons dans un monde qui évolue à un rythme foudroyant et que la musique, en tant que mode de communication, et l’une des formes d’expression humaine qui peut jouer un rôle primordial dans cette évolution.


La violence à l'école :


     Les enquêtes et les sondages d'opinion montrent que « les actes de violence » sont en vigueur au sein des établissements scolaires. Mais, les causes de ces actes divergent d'un milieu à l'autre, ce qui obsède incessamment l'esprit des gens qui veillent sur le domaine éducatif, les incitant ainsi à rechercher des solutions susceptibles d'éradiquer cette calamité.

     D'abord, la démission des parents dans l’éducation des enfants aggravée par le chômage et la pauvreté qui les rendent incapables d’acheter les fournitures et payer certaines taxes (droit d’inscription, gardiennage…), ce renoncement favorise les comportements violents à l’école et la délinquance juvénile.

     Ensuite, la violence ne se limite pas aux élèves eux-mêmes, mais elle arrive aussi à impliquer le corps éducatif, surtout les enseignants, dans ce gouffre. En effet, l'absence de communication entre les professeurs et les élèves, peut entraîner une certaine incompréhension qui aboutira à des paroles ou des gestes grossiers.

     En outre, l’absence ou le non fonctionnement des structures démocratiques devant favoriser la concertation et le dialogue amène souvent les élèves à trouver d’autres voies pour se faire entendre.

Enfin, la surcharge démesurée des classes scolaires engendre la violence, étant donné que les circonstances déplorables dans lesquelles étudient les élèves ne permettent guère de s'harmoniser avec une ambiance estudiantine normale si bien que l’intolérance et l’incivilité règnent en maître.   D'ailleurs, certains adolescents exploitent cette surcharge croissante pour s'affranchir de toutes les règles et affirmer leurs volontés. Ils se transforment ainsi en provocateurs intolérables.

     Par conséquent, les responsables administratifs et pédagogiques sont appelés à instaurer la stabilité et la sureté dans les institutions puisque la violence en menace l’équilibre. En d'autres termes, il s'avère indispensable de combattre avec détermination les actes qui se produisent dans les écoles : le bien-être de la majorité des élèves devrait l'emporter sur celui de l'élève délinquant et il faudrait tout mettre en œuvre pour aider les élèves intransigeants et les ramener sur le droit chemin.

En définitive, il est primordial de prendre des mesures aptes à rendre à l’école sa mission essentielle et à sensibiliser les différents intervenants à la communication et à la tolérance :

« La prévention vaut mieux que la guérison », dit le dicton.


La beauté ou l'intelligence ?


     De nature, l’être humain a tendance à se montrer utile et à se valoriser. Un conflit est né entre la beauté et l’intelligence : l’épanouissement de l’individu dépend-il de la splendeur de son physique ou de ses facultés ? Si les femmes avaient le choix entre beauté et intelligence, il y aurait celles qui choisiraient la beauté et d’autres l’intelligence.

     D'abord, la beauté donne à la femme son charme et sa grâce. C'est pourquoi plusieurs d’entre elles dépensent un argent fou afin de se faire une chirurgie esthétique pour être splendide. Elles pensent qu’elles seraient ainsi admirées par tout le monde. En effet, des sociologues affirment que les hommes conduits par leur faiblesse sont attirés par les coquettes.

     En outre, la beauté n’est pas seulement un atout physique mais elle est aussi un enjeu financier puisque les femmes belles et gracieuses sont le centre d’intérêt de plusieurs groupes. Je cite, par exemple, les sociétés de publicité ou de vente de produit de beauté.

     Cependant, de nos jours, la beauté physique n’est pas le seul critère pour être valorisé. En effet, la compétence intellectuelle permet aux femmes d’avoir une vision innovante de l’avenir. Les avantages de l’intelligence ne s’arrêtent pas là, en utilisant cette clef de réussite, elles s’approprient des postes intéressants ainsi qu’un haut statut social. Ainsi, les femmes dont les QI sont élevés sont confiantes et ont une forte personnalité, ce qui se révélera primordial pour leur avenir.

     Il est vrai que la beauté permet à la personne de se sentir féminine mais vu que la beauté est relative au temps, l’âge lui gâche son attirance et la rend fane comme une fleur. Il serait donc raisonnable de s’intéresser à l’intelligence des femmes. Ces dernières en l’utilisant de façon     appropriée peuvent se faire belles.

     En conclusion, je pense que les femmes auraient toutes souhaité être belles et intelligentes à la fois, car la beauté est la clef du bonheur romantique et l’intelligence est le début d’un avenir radieux. On se demande vraiment si la beauté n’est pas plus relative avec les hommes qu’avec l’âge?


Le recours aux saints :


     Dans la réalité quotidienne, beaucoup de personnes rencontrent des soucis de tout genre : problème d’amour, de chômage, de famille, de mariage, etc. Cependant, pour résoudre ces problèmes, ces personnes recourent à de vieilles pratiques en pensant que visiter un saint ou consulter un marabout peut être un meilleur remède aux difficultés de la vie.

     Personnellement, je pense que ces pratiques ne sont que de fausses croyances auxquelles restent attachés les esprits d’un autre âge.

     D'abord, par superstition et ignorance, on attribue à des personnes, mortes ou vivantes, un pouvoir moral et magique qu’elles n’ont pas. En effet, si des personnes comme la Chouafa ou Sidi El Arafi pouvaient résoudre les problèmes de la vie, ils auraient pu résoudre avant tout la situation lamentable où ils se trouvaient eux-mêmes.

     Ensuite, avec peu de logique, on peut facilement constater qu’il est inconcevable que les morts puissent apporter le moindre secours aux vivants. L’exemple le plus significatif nous est fourni par « la boîte à merveilles » : Depuis leur visite à Sidi Ali Boughaleb, la situation morale et matérielle de Lalla Zoubida et de son amie Lalla Aïcha ne faisait qu’empirer allant jusqu'à la faillite du mari de la première et à un nouveau mariage du mari de la seconde.

     Enfin, pour affronter les situations difficiles de la vie, le meilleur moyen serait de recourir à la raison et d’assumer toutes ses responsabilités. L’exemple du père de Sidi Mohammed dans « la boîte à merveilles » est significatif. Le jour même de sa faillite, il réagit intelligemment en décidant d’aller travailler à la campagne comme moissonneur et d’économiser assez d’argent afin de pouvoir rouvrir son atelier.

     En conclusion, on peut dire que par superstition et ignorance, ou par l’absence quasi totale de la raison, beaucoup de gens, pour résoudre les problèmes de la vie, recourent à de fausses pratiques et à de fausses croyances stériles, au lieu de faire face à ces situations par le meilleur remède que sont l’intelligence et l’esprit.


Les guérisseurs : 


     De nombreuses personnes ne vont pas voir un médecin quand elles tombent malades. Ils préfèrent, au contraire, recourir à des guérisseurs. On peut avancer plusieurs raisons pour expliquer ce choix.

     En premier lieu, les uns recourent à ces pratiques sous le poids des traditions et de l’analphabétisme qui pousse les gens à faire plus confiance aux saints et aux guérisseurs. L'exemple le plus significatif nous est fourni par la mère du narrateur de « La Boîte à Merveilles ». Lorsque le narrateur est souffrant, sa mère attribue son mal au mauvais œil. Elle ne pense guère à une infection ou à une quelconque cause pathologique. Aussi décide-t-elle de l'emmener dans le mausolée de Sidi Ali Boughaleb. Elle est pleinement convaincue que son fils se remettra bientôt de sa maladie grâce à la bienveillance du saint.

     En deuxième lieu, d’autres vont voir un guérisseur à cause de la pauvreté et le manque de moyens financiers puisqu'ils n’ont pas de couverture sociale et les tarifs des soins pratiqués par un médecin sont très chers.

     En dernier lieu, on trouve aussi des gens qui ne font pas confiance en la médecine moderne sous prétexte qu'il y a des médecins qui obtiennent des diplômes dans certains pays d’Afrique ou d’Europe de l’Est, moyennant de l’argent et leur compétence est contestable.

     Toutefois, les conséquences de ce choix sont parfois graves. En effet, un guérisseur est une personne, généralement dépourvue de diplôme médical, qui prétend guérir, en dehors de l'exercice légal de la médecine, par des moyens qui peuvent avoir de répercussions néfastes sur la santé des patients.

     D'une part, le guérisseur maîtrise mal la dose de médicament à donner au souffrant. C'est pour cela que certaines personnes tombent gravement malades après avoir ingéré une quantité de substances non conforme à leur âge et à leur poids.

     D'autre part, il utilise des instruments non stérilisés qui peuvent aussi transmettre au malade des virus comme celui du sida ou de l’hépatite C.

     En résumé, on peut considérer que les guérisseurs ne sont généralement que des charlatans. Dès lors, il faudrait sensibiliser les gens et leur permettre d’accéder gratuitement aux soins dispensés dans les hôpitaux modernes.


Tradition et modernité :


     Les traditionalistes tirent depuis quelques années la sonnette d'alarme en vue de mettre en garde contre la disparition des traditions. Or, la mondialisation et le besoin vital d'ancrer la communauté et le pays dans leur siècle exigent d'autres convenances. Faut-il donc s'accrocher tenacement aux traditions ? Ou plutôt les négliger et s'identifier à la modernité ?

     D'abord, les gens sont poussés instinctivement depuis que le monde est monde à imiter leurs ancêtres dans tous les aspects chroniques de la vie, de sorte qu'ils ne peuvent point se dérober aux dogmes des traditions au point qu'on considère toute tentative de s'y soustraire comme un renoncement, ou pour ainsi dire un reniement.

     Ensuite, les traditions perpétuent éternellement l'héritage culturel de toute société, de manière qu'on pourrait considérer celles qui ne les détiennent pas comme des sociétés sans racines. En effet, ce patrimoine reflète l'image de la civilisation de chaque pays.

     En outre, la richesse incontestable des traditions héréditaires leur ajoute chez la masse populaire une posture séduisante voire vénérable. Force est de constater qu'au fur et à mesure que le monde évolue constamment sur tous les plans, les conformistes qui s'agrippent fermement aux traditions montent en crescendo. C'est le cas de plusieurs pays en voie de développement.

     Néanmoins, les modalités et les arrangements qu'imposent la mondialisation et la nécessité de développement en vue de faire décoller notre pays en l'harmonisant avec les évolutions globales, nous incitent à établir un nouveau mode de société.

       En d'autres termes, le monde actuel exige d'autres adéquations auxquelles on ne pourrait point échapper, d'où l'exigence de trouver un compromis juste et durable entre la modernité et la tradition.

     Certes, les traditions sont riches et indispensables à la sauvegarde de notre identité et de notre civilisation. Toutefois, la modernité est assez primordiale pour intégrer le pays dans son époque.


Les parents qui décident à la place des enfants :


     On entend souvent dire que les parents se trouvent toujours, à une certaine période de leur vie, face à un dilemme : Recourir à l'autorité comme moyen d'éducation, en régissant d'une main de fer les choix et les penchants de leurs enfants, ou plutôt leur laisser la liberté de décider pour eux-mêmes. Alors, que choisir ? La sévérité ou la liberté ? Et surtout, comment devrait être la relation entre les parents et leurs enfants ?

     Certains affirment tenacement que le rapport parents/enfants devrait être basé sur l'autorité et la sévérité en avançant les arguments suivants : D'abord, les parents peuvent parfois être autoritaires, et se montrer sévères envers leurs enfants, mais ce n'est que par amour et pour le bien de leurs descendants qu'ils agissent de la sorte, car nos parents veulent nous voir les surpasser et atteindre le firmament de la réussite. Ensuite, décider pour ses enfants, c'est avant tout une responsabilité parentale. En effet, c'est le rôle de chaque parent de prendre les décisions pour assurer l'avenir de sa progéniture et éviter ainsi des choix non réfléchis qui pourraient avoir des répercussions néfastes sur la famille. Enfin, les parents sont bien plus expérimentés et clairvoyants que leurs enfants. Par conséquent, ils les empêcheront de commettre les mêmes erreurs qu'eux- mêmes. Par exemple, les parents peuvent restreindre l'utilisation des nouveaux moyens de communication à leurs enfants, pour éviter que cela ne les influence négativement. En somme, pour ces personnes, décider à la place des enfants est la meilleure chose à faire, même si cela peut entraîner une dégradation du rapport parents/enfants.

     En revanche, d'autres certifient que la liberté de décider est primordiale pour les enfants. Cette affirmation est étayée par de nombreux arguments. D'abord, les parents peuvent avoir une image utopique de leurs enfants et ainsi ils leurs imposent des choix qui dépassent leurs aptitudes. Cette attitude s'avère erronée car les seuls qui connaissent leurs vrais penchants et aptitudes ce sont les enfants. L'exemple le plus significatif nous est fourni par les décisions que prennent les parents à la place de leurs enfants dans le domaine des études, ce qui peut causer des dommages irréversibles sur la poursuite du cursus scolaire et universitaire. De plus, en faisant vivre son enfant dans cette sphère étroite où il n'a ni responsabilités ni décisions à prendre, on rendra plus difficile son adaptation à la vie et à sa dure réalité. Prenons le cas des décisions prises par les parents en ce qui concerne les fréquentations de leurs enfants, et qui peuvent mener à la solitude de l'enfant et au rejet de l’autre.

En outre, la liberté de décision est un apanage exclusif à chaque individu, et le lui spolier reviendrait à lui nuire. 

     En effet, décider au lieu de son enfant pourrait tarir son esprit critique, ainsi l'enfant aura une faible personnalité et ne sera pas autonome. Citons le cas des choix vestimentaires que font les parents pour leurs enfants, et qui pourraient rendre l'enfant une sorte de paria social. Bref, choisir au lieu de ses enfants pourrait avoir des répercussions désastreuses sur eux.

     En conclusion, On peut dire que décider pour ses enfants peut s'avérer néfaste, car cela affaiblit leurs personnalités et ne les prépare pas à affronter la réalité, d'autant plus que ces décisions peuvent être contradictoires avec les penchants des enfants et créent ainsi un abîme entre eux et leurs rêves. À mon humble avis, la relation entre les parents et leurs enfants devrait être basée sur la tolérance, l'amour et le respect réciproque.


Les cérémonies et les fêtes : pour ou contre ?


     Les avis divergent autour du sujet des cérémonies organisées par les familles et leurs répercussions sur la société. En effet, alors que certains y voient un moyen d’une rare efficacité pour renforcer les relations et les liens entre les gens, d’autres y voient, au contraire, un fléau qui ronge notre société de l’intérieur. À ce propos, on se pose plusieurs questions sur les bienfaits et les méfaits de cette pratique purement sociale.

     Les partisans de cette pratique affirment que les fêtes jouent un rôle important dans notre société et ils exposent les arguments suivants :

       D'abord, personne ne peut nier que les cérémonies et les fêtes sont un outil d’une rare efficacité qui permet de consolider les liens entre les membres des familles et les amis. Il est indéniable que la meilleure façon de réunir les amis et la famille est d’organiser des fêtes où ils se rencontrent et règlent leurs éventuels problèmes dans une atmosphère de joie et de festivités.

      Ensuite, dans l’engrenage de stress et d’angoisse où l’on vit, il serait adéquat de proposer de temps en temps une échappatoire à ce cercle vicieux : Cérémonies, voyages… car cela permet d’oublier pour un instant ses problèmes et profiter de la vie, en se divertissant et en se ressourçant.

      Enfin, ils invoquent un argument de taille : l’aspect religieux. En effet, notre religion nous incite à rester en contact avec les autres et à consolider nos relations, et quel meilleur moyen pour ce dessein que les fêtes et les cérémonies !

      En résumé, nous avons vu que les fêtes familiales contribuent énormément au renforcement des relations. D'autre part, les détracteurs de cette pratique avancent bien des arguments pour les soutenir : En premier lieu, ils affirment que les cérémonies et les fêtes sont une perte de temps et d’argent, et pourraient engendrer divers problèmes financiers. Il est évident que ce genre de pratiques se montre bien dispendieux et onéreux et requiert un temps et des efforts colossaux. En deuxième lieu, ils notent que dans bien des cas, ces cérémonies dites sympathiques et qui sont censées consolider les liens, pourraient au contraire les détruire et les démanteler. En effet, il arrive souvent que les familles choisissent ces moments pour régler leurs différends, ce qui peut aboutir à de violentes disputes. En dernier lieu, beaucoup de gens voient en ces cérémonies une occasion pour mettre en avant leurs richesses et bluffer les autres. Ainsi, ce genre de snobisme pourra envenimer les relations familiales et aggraver les conflits.

     En somme, nous avons pu nous apercevoir que cette pratique pouvait creuser le fossé entre les membres d’une famille.

     En conclusion, le débat restera éternel entre les partisans et les détracteurs de cette pratique. Mais, nous avons tous besoins de ces occasions pour sortir de ce cercle vicieux que la vie nous impose pour nous détendre et nous relaxer.


Faut-il faire souffrir les prisonniers ?


     La prison est le lieu de détention de plusieurs condamnés et pour punir ces criminels on les prive de leurs libertés. Plusieurs personnes trouvent qu’il faut les châtier sévèrement pour avoir volé, tué ou assassiné par  contre d’autres les plaignent et incitent à les traiter avec beaucoup d’humanité.

     Un nombre considérable de personnes trouve qu’il faut maltraiter les condamnés .Les victimes des crimes sont les premières personnes concernées par ce choix. Elles ont tant souffert et elles désirent que les coupables subissent les conséquences fâcheuses de leurs faits et gestes. Ces pauvres victimes vivent dans des conditions de dépression et d’amertume et pour se libérer de cette agonie, elles veulent se venger de ces condamnés. Elles croient qu’en infligeant tous les types de violence et de torture à l’égard de ces prisonniers ils ressentiront des douleurs atroces et c’est ainsi qu’ils regretteront leurs actes et seront un exemple pour ceux qui voudraient accomplir des gestes sanglants et inhumains. Cependant, d’autres personnes s’opposent d’une façon catégorique à ce type de punition. La liberté est un des droits cruciaux de l’homme et la privation de ce droit est à elle seule une grande punition pour le prisonnier. On oublie qu’un prisonnier est un être humain qui a des sentiments, un amour-propre, une dignité et vit dans l’espoir qu’un jour, quand il sortira, il pourra commencer une nouvelle vie. Par conséquent, le fait de les mépriser ou les maltraiter ne va que compliquer les choses, et leurs repentirs se transformeront en haine et en actes terribles et épouvantables.

     Il est vrai que les condamnés ont commis des crimes horribles et que les victimes en souffrent mais il faut être conscient que les maltraiter ne fera qu’amplifier les dégâts. À mon avis, il serait plus utile de soigner leurs troubles psychologiques et de les préparer à réintégrer la vie  sociale au lieu de s’acharner à les maltraiter et à les faire souffrir.

J’ai la certitude qu’une bonne éducation et une politique sécuritaire basée sur la prévention peuvent baisser sensiblement le taux de criminalité dans notre société.


Le tabac et les jeunes :


     Beaucoup de jeunes fument alors que cela est nuisible pour la santé. Il semble nécessaire de rappeler que la cigarette est dangereuse et qu'elle peut même devenir meurtrière.

   D'abord, il convient de souligner que le tabac est un poison. En effet, les substances qui composent une cigarette sont incontestablement nocives pour les consommateurs. Parmi ces produits chimiques, on trouve de l'acétone, du méthanol, de l'ammoniac et même du polonium. Toutes ces substances inhalées favorisent les maladies et entraînent des défaillances respiratoires, des problèmes vasculaires et cardiaques.

     Ensuite, le fait de fumer est non seulement dangereux pour la santé mais cela peut aussi tuer. La cigarette contient plus de cinquante substances cancérigènes. Elle est donc à l'origine de multiples cancers, parfois mortels : les cancers de la bouche, du larynx, du pharynx, de l'œsophage,…. Une expérience scientifique a ainsi prouvé que les risques de cancer sont quatre fois plus élevés chez les fumeurs que chez les non-fumeurs.

     De plus, la cigarette est une drogue. En effet, elle contient de fortes doses de nicotine à laquelle l'organisme devient rapidement dépendant. Certains fumeurs peuvent ainsi consommer plus d'un paquet par jour. Or, plus on fume, plus la pulsion à recommencer est forte. On

parle alors d'addiction puisque le fumeur est atteint d'une affection cérébrale chronique caractérisée par une dépendance à la nicotine

     En outre, sachant que le prix des cigarettes ne cesse d'augmenter, l'addiction entraîne des coûts excessifs, parfois au détriment d'autres achats plus utiles : un jeune qui fume un paquet par jour dépense des sommes qui auraient mieux servis à améliorer son quotidien.

     Enfin, il a été démontré hors de tout doute que la fumée de cigarette est dommageable pour l'organisme que ce soit pour la santé du fumeur lui-même ou encore pour celle du non- fumeur respirant la fumée ambiante : on parle alors de tabagisme passif, tout aussi préjudiciable et à l'origine des mêmes problèmes médicaux. Les risques engendrés par le tabagisme passif sont encore plus élevés pour les personnes fragiles : enfants, femmes enceintes, personnes âgées notamment. Il n'est pas rare d'apprendre qu'une serveuse de bar par exemple qui n'a jamais fumé de sa vie développe un cancer. Ainsi, il devient inadmissible de laisser des gens altérer la qualité de notre air lorsqu'on en connaît la toxicité. En conclusion, la cigarette est une drogue meurtrière qui met en péril aussi bien les fumeurs que leur entourage. Par conséquent, il ne faut pas commencer à fumer et, si c'est le cas, il est vivement conseillé d'arrêter au plus vite pour espérer rester en bonne santé ou ne pas mourir prématurément.



Les bienfaits de la lecture :


     De nos jours, on peut observer que la lecture devient de moins en moins populaire chez les jeunes. Pourtant, il faut insister sur le fait que l'habitude de lire des livres, des romans et des nouvelles peut certainement présenter de nombreux avantages.

     D'abord, la lecture développe la pensée créative. En effet, l'esprit des lecteurs commence à travailler immédiatement une fois qu'ils se mettent à lire. Lorsque nous lisons un roman ou une nouvelle, notre imagination se transporte tout de suite dans un monde complètement nouveau. C'est la langue de l'œuvre qui crée des images dans l'esprit du lecteur et lui ouvre toutes les portes de la création, comme a dit Balzac « J'ai accompli de délicieux voyages, embarqué sur un mot ». La lecture est donc une ouverture sur un monde enchanté qui nous fait rejoindre l'auteur dans sa démarche d'écriture et de narration. On s'identifie au héros, on épouse ses aventures, ses sentiments; on sort ainsi de nous-mêmes et on vit plusieurs vies.

     Ensuite, le fait de lire aide à enrichir son vocabulaire et à renforcer son emprise sur la langue. Chaque fois que nous lisons un nouveau roman ou une fiction, nous rencontrons plusieurs mots nouveaux. En effet, la lecture est très bénéfique pour améliorer notre bagage langagier : elle nous permet de faire travailler notre mémoire, de réviser sans effort notre orthographe et d'apprendre à s'exprimer correctement. Ainsi, notre maîtrise de la langue devient plus forte et nous en saisissons toutes les nuances.

     De plus, la lecture est une source de divertissement. Tout comme les spectacles, les jeux et le sport, elle nous procure un plaisir en nous détournant du réel où l'on vit, favorisant ainsi l'oubli des soucis et du stress du quotidien. Elle est donc une expérience rajeunissante puisqu'elle relaxe tout notre être, détend nos nerfs et nos sens et nous permet ainsi de se reposer et de se ressourcer.

En outre, elle est un moyen d'épanouissement et de développement personnel. C'est l'un des facteurs principaux qui joue un rôle dans la détermination de la personnalité d'un individu. Lire élargit notre sphère de la connaissance ce qui accroît réellement notre estime de soi. Lire nous aide à comprendre beaucoup de choses, à accumuler des idées, à s'instruire et surtout à forger notre esprit critique. 

     En somme, la lecture nous invite à mieux comprendre et maîtriser le monde au lieu de le fuir.

     Enfin, c'est une activité culturelle importante qui rend les gens plus ouverts et plus tolérants. Elle nous apporte alors une inspiration nouvelle, une interprétation nouvelle du monde, et probablement une culture plus approfondie. Elle va élargir notre horizon en nous faisant connaitre les autres cultures et les autres religions. Par conséquent, elle nous incite à sortir de notre sphère étroite, à déverrouiller notre regard sur le monde, à atténuer nos différences et à s'accrocher aux valeurs universelles. Simone de Beauvoir a dit : « La lecture est la clé qui m'ouvrait le monde ».

     Ainsi, la lecture est un éveil de l'âme et du cœur. Une jouissance de la pensée et des sentiments. C'est pour cela qu'il devient très important d'encourager et d'entretenir l'acte de lire dans les années formatrices de la vie.


L'école un espace aimé ou détesté ?


     De nos jours, l'école a subi plusieurs évolutions et a connu des changements remarquables à tous les niveaux. Elle a une grande importance dans les sociétés modernes qui lui accordent un rôle d'agent de socialisation. Cependant, certains élèves la considèrent comme un espace carcéral d'où ils espèrent tant s'enfuir. Pour quelles raisons des jeunes haïssent-ils l'école ? Et quelles considérations accordent-ils à cette institution ?

     D'abord, l'école n'arrive pas à intégrer tout le monde de façon satisfaisante. L'intégration au milieu scolaire constitue une énorme difficulté pour certains élèves faute de structure d'accueil adéquate pour leurs besoins. En effet, ceux-ci trouvent des obstacles pour s'épanouir et affirmer leur personnalité par rapport à leurs condisciples, d'où l'impossibilité de tisser des liens d'amitié ce qui approfondit encore l'éloignement.

     Ensuite, les attentes très nombreuses que la société entretient vis-à-vis de l’école sont souvent déçues. D'une part, trop de jeunes échouent et quittent le lycée avant le baccalauréat. D'autre part, beaucoup d’élèves ont l’impression que les diplômes ne servent plus à rien et qu’on peut réussir dans la vie sans mettre les pieds à l’école et le comble c'est que les mass-médias aujourd'hui font véhiculer cette idée à travers les émissions de télé-réalité qui présentent des candidats dont le niveau intellectuel laisse beaucoup à désirer. Ainsi, lorsqu'une majorité peine à lire, à calculer et à écrire il est clair que l’enseignement est en faillite : l’exemple le plus frappant est celui du rappeur français Jul. En alignant une dizaine de fautes en deux phrases le rappeur Jul explique à ses détracteurs que ses carences orthographiques ne l’ont pas empêché de se faire un nom.

     De plus, le système éducatif inadapté et la sévérité de certains enseignants qui adoptent des méthodes basées sur la violence à l'encontre des enfants fragiles sans oublier l'inadéquation et l'impertinence des programmes surchargés, tout cela constitue une entrave pour les apprenants, si bien que la fin des cours scolaires représente une délivrance et la fin d’un calvaire.

     En outre, le système scolaire de la plupart des pays reproduit les inégalités sociales. Dans la société, les enfants issus des classes populaires auront des boulots qui sont ceux des classes populaires. Certes, les parents défavorisés savent à quel point la réussite scolaire est importante pour l'avenir de leurs enfants, mais leur condition ne leur permet pas de s'engager suffisamment dans la supervision du processus éducatif et ils ont tendance à renvoyer la balle aux responsables.

     Enfin, l'école est devenue égale au monde qui l’entoure. En effet, les adolescents portent dans les écoles les situations et les problèmes qu’on a toujours sous les yeux : la violence, le racket et l’intolérance. L’enseignant a donc le sentiment d'être démuni face aux mandats qu'on lui a confiés. Son rôle aujourd'hui se résume à du maintien de l’ordre.

     En conclusion, en l'état actuel des choses où on déplore les trop nombreux échecs et abandons scolaires et où l'on est en mesure de repérer quelques pistes de prévention de ces échecs, il ne manque plus que la volonté collective d'agir sérieusement pour offrir aux jeunes un environnement scolaire mieux adapté à leurs besoins. Ainsi, les responsables doivent tenir compte de l'intérêt de l'élève étant donné que l'éducation fait appel au sens de la responsabilité plutôt qu'à la répression afin d'embellir l'image de l'école aux élèves en soutenant, comme Victor Hugo, que « chaque enfant qu'on enseigne est un homme qu'on gagne ».


les accidents de la route :


     Un accident de la route est un accident qui a lieu sur le réseau routier entre un engin roulant (automobile, moto, vélo, etc.) et toute autre chose ou personne et qui engendre des blessures humaines et/ou des dégâts matériels. De nombreux facteurs contribuent aux risques de collision telle que type de véhicule, la vitesse de circulation, l’environnement routier, l'expérience du conducteur mais aussi son comportement et son état physique.

     Le nombre des accidents de la circulation a augmenté de façon alarmante. Personnellement, je pense que cela est dû à plusieurs facteurs humains, matériels ou naturels. Et à titre d’exemple, on peut citer, d’abord, les piétons et les conducteurs ne respectent pas le code de la route, ensuite, l’état mécanique de la majorité des véhicules est lamentable, puisqu’ils ne passent pas par la visite technique , puis, la situation dans laquelle se trouvent nos routes est primitive et finalement , on ne doit pas oublié les auto-écoles qui distribuent les permis de conduire à des personnes qui ne le méritent pas. Bref, je crois que pour mettre fin à ce fléau mortel, il faut combattre la corruption, contrôler les auto- écoles, refaire toutes les routes et surtout sanctionner sévèrement ceux qui ne respectent pas les normes de la route.


le rôle de travail :


     L’Homme travaille depuis des siècles. D’abord chasseur, il est ensuite devenu cultivateur, puis le travail s’est diversifié. Pourtant, la question demeure : pourquoi aller travailler? Est-ce pour mieux atteindre vos objectifs de vie ou est-ce une source de motivation?

     Pendant des siècles, le but premier du travail était de nourrir la famille. Les hommes partaient à la chasse ou cultivaient leur terre afin d’apporter de la nourriture à la table. Ensuite, le travail a été perçu comme une source de richesse. Les gens pouvaient se procurer davantage de nourriture et de biens. C’est là que l’écart s’est creusé entre les pauvres et les riches.

Aujourd’hui, pour certains, notamment les plus défavorisés, cette perception est restée. Pour eux, le travail devient presque une corvée : ils travaillent pour subvenir aux besoins de leur famille, mais leurs revenus ne leur permettent pas toujours de s’adonner à des loisirs, par exemple.

     En outre, travailler pour s’épanouir c’est-à-dire pour d’autres personnes, travailler est une source d’épanouissement personnel. Ils travaillent dans un domaine qui les passionne vraiment. Le travail leur apporte quelque chose de plus dans leur vie. Ils sont passionnés par ce qu’ils font et sont souvent les plus comblés.

     Pour d’autres, le travail amène une certaine notoriété et leur permet de se tailler une place dans la société. Ce sont souvent des gens qui aiment travailler avec le public et qui sentent le besoin d’aider les gens. Ils aiment se sentir utiles et apporter leur soutien aux plus démunis.


Le rôle du père dans la famille:


     Le père est le pilier du foyer, il a le rôle de protéger sa famille, de l’assister matériellement et moralement. C’est une poitrine tendre et affectueuse. En effet, le père s’efforce de subvenir aux besoins nécessaires de sa famille, grâce à lui on peut se nourrir, s’habiller et étudier. Par ailleurs, le père nous apprend tant de chose et beaucoup d’expériences qui peuvent nous aider à avoir une bonne éducation.il nous donne aussi des conseils servant à affronter la vie scolaire.

     En plus, la présence du père dans une famille offre à ses membres la protection et la sécurité en ayant un équilibre psychologique. Ainsi on peut ressentir la tranquillité et la paix.

     Finalement, on peut affirmer que le père occupe une place primordiale dans la famille, son absence entraine souvent un déséquilibre chez l’enfant.


L'argent:


     L'argent est une chose d'une haute portée dans le monde contemporain. L’argent est un moyen qui nous permet de réaliser nos désirs et nos rêves, L’argent nous permet aussi de voyager, acheter tous ce qu’on désire… Aussi il nous permet de vivre à l’aise, sans nécessité. L’argent a une grande valeur ; il fait indéniablement le bonheur certaines fois. Il faut savoir voir aussi d'autres valeurs qui se comptent dans la vie, par exemple l'amitié, l'amour, la famille et la santé. Ils peuvent donner un bonheur véritable parce qu'on ne peut pas les acheter. C'est vrai que l'argent peut donner à un homme beaucoup de possibilités: voyager dans le monde entier, acheter ce dont on rêve, mais ce n'est seulement cela qui se compte. Moi, je trouve que bien que l'argent soit nécessaire dans la vie, il est beaucoup plus utile quand il aide à faire quelque chose de bon. L'argent ne devrait pas devenir le sens de la vie de l'homme.

     L’argent fait le bonheur car il est le moyen de réaliser les rêves et les désirs de l’individu, et donne l’occasion de rendre les gens heureux en les aidant. En revanche, il pourrait causer le malheur à celui qui le possède s’il en fait un mauvais usage.


l'importance de l'environnement:


     L’environnement est notre poumon avec laquelle on respire ; il est notre vie. Mais cet espace souffre de plusieurs problèmes qui menacent la vie de l'homme, des animaux et des plantations. Alors quels sont ces problèmes ? Comment peut-on les résoudre ?

     D'abord l'environnement souffre des catastrophes naturelles comme les inondations, les tremblements, les volcans et les incendies ce qui entraîne à la désertification des forets et des terres plantées, cela aussi mène au voyage des animaux ou à leur perte.

     Puis la forêt qui était une source de l'air pur, du bois, et qui était un endroit pour s'amuser et s'entraîner est devenue un espace pollué, en plus la pauvreté pousse des gens à arracher les arbres et vendre le bois en vue de se nourrir .Cela a mené à la ruine de la forêt et à la disparition de plusieurs animaux.

     Ensuite l'environnement souffre de la pollution puisqu'on trouve les déchets au milieu des arbres, dans les sources d'eau. En plus les fumées des véhicules et des usines rendent l'air moins pur Enfin c'est à cause du progrès scientifique que l'environnement a perdu sa pureté, c'est-à-dire il est devenu un champ pour faire des expériences sur les armes ou sur les animaux.

     Pour lutter contre ces dangers et pour sauver notre vie on doit sensibiliser les gens des conséquences graves de ce geste injuste en pratiquant des punitions contre ceux qui causent un danger sur l'environnement.



l'importance de l'environnement:


     Personne ne peut nier que les études jouent un rôle primordial dans la vie de chaque être humain pour acquérir des compétences.

     L’instruction tient une part importante dans le plan de notre Père céleste pour nous aider à devenir davantage semblables à lui. L’instruction apporte la compréhension et les compétences qui nous permettent de devenir autonomes, de subvenir aux besoins de notre future famille et de rendre de plus grands services dans le monde.


la ville ou la campagne:


     Certains préfèrent à vivre en ville, autres à la campagne. Le choix entre deux possibilités n'est pas du tout évident qu'on pourrait le croire : différents aspects d'options doivent être analysés.

     Premièrement la campagne offre l'air frais, non pollué. Avec, ses paysages pittoresques et son silence c'est une proposition merveilleuse pour ces qui préfèrent l'intimité et tranquillité. Même si la mentalité des paysans est différente, les habitants peuvent bénéficier d'autres avantages d'entourage : la nature.

     Les enthousiastes de la ville soulignent le niveau d'éducation y propose. Puis les citadins ont plus possibilités de raconter les gens et visiter les places de distraction : les monuments, cinémas, théâtres. Bien que les villes soient souvent embouteillages, nous pouvons prendre en considération qu'ils offrent aussi le transport facile.

     On dit que l'être humain est attiré par ce qu'il n'a pas. Je suis un bon exemple de cette cotation. Bien que j'habite en ville, je préfère la campagne aves ses avantages : silence, tranquillité et pureté.


L’amitié:


     L’amitié est une relation qui réunit deux personnes ou plus. Elle est basée sur des sentiments humains échangés. De nos jours, beaucoup de sentiments humains ont disparu pour des raisons morales (mauvaise éducation…) et économiques (société matérialiste…). Par conséquent, la vraie amitié existe-elle encore ? Et quels sont ses avantages et ses inconvénients ?

     Comme vous le savez, l’homme est un être social. Il est toujours à la recherche d’une personne aimable pour lui. Il fait des efforts pour trouver l’ami fidèle. Mais, comment l’amitié se constitue-t-elle entre les gens ? Je pense que la camaraderie est une phase très importante pour bâtir une vraie amitié car en camaraderie, on peut tester beaucoup de choses : sincérité, fidélité… Un camarade qui vous incite à faire du mal n'est pas un ami. Il faut bien le négliger immédiatement. Si vous rencontrez un copain qui vous aide à progresser vers le bien, il faut le considérer comme un vrai ami.

     Personnellement, je trouve que l’amitié a beaucoup d’avantages. Par exemple, on peut avouer nos secrets, on peut échanger les conseils, on peut avoir l’aide dans des cas urgents… Concernant les inconvénients, il faut éviter le malentendu dans tous cas.

     En guise de conclusion, je peux dire que l’amitié peut exister dans notre vie, mais elle est comme le cristal, dur à trouver mais facile à briser.


pour ou contre la guerre ?


     La guerre est un sujet qui a toujours suscité une grande polémique. Personnellement, je la trouve inutile pour les raisons suivantes : D'une part, elle tue des innocents, fait des veuves, des orphelins et des invalides, …Ainsi, les deux Guerres Mondiales se sont soldées par près de soixante-dix millions de morts, sans compter le nombre d’invalides et de mutilés. D'autre part, la guerre détruit des infrastructures, des usines, des écoles, des hôpitaux, des villes et même des pays entiers. Ainsi, l’Irak, la Lybie, la Syrie et bien d’autres, ont vu s’écrouler tous les efforts d’un siècle de développement à cause de la guerre civile et de l’ingérence étrangère.

     En conclusion, la guerre, qu’elle soit civile ou non, ne doit être envisagée qu’après avoir épuisé tous les autres moyens diplomatiques car « on ne fait pas d’omelette sans casser les œufs » et les pays belligérants sont tous perdants et il n’y a pas de frappes chirurgicales comme le prétendent les États- Unis d’Amérique et leurs alliés..


pour ou contre la guerre ?


     L'esclavage est une pratique consistant à priver de liberté un individu et de le forcer à travailler. Le cas le plus connu est celui du Commerce Triangulaire au XVIIIème siècle, les Européens partaient les cales chargées de babioles de pacotilles, une fois arrivé en Afrique, ils les échangeaient contre des esclaves puis repartaient en direction des Antilles ou ceux-ci étaient vendu au plus offrant. Les bateaux repartaient ensuite vers l'Europe les cales chargées de produits exotiques (sucre, cacao ...). Donc, il faut combattre ce phénomène néfaste à travers la sensibilisation pour l’éradiquer au plus vite.


La mondialisation:


     La mondialisation est de plus en plus présente partout dans le monde. Je suis pour la mondialisation et je vais vous expliquer pour quel raison.

     Tout d’abord, La mondialisation permet un partage de connaissance en bien et service partout autour du monde. Il y a donc une plus grande diversification de produit disponible sur le marché et ce dans plusieurs pays.

     Egalement, puisque les industries vendent partout, ils peuvent faire baisser le prix de leur marchandise rendant ainsi les consommateurs contents.

     Pour conclure, si la mondialisation continue ainsi de grandir c’est bien parce qu’elle apporte plus d’avantages que de désavantages puisqu’il contribue au développement de l’économie mondiale et ainsi la pauvreté diminue de plus en plus dans les pays qui s’intègre à la mondialisation.

Bonne lecture à toutes et à tous

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